Carnets de confinement classes 2èmea et 2èmeb école moyenne de Courmayeur


Le journal du confinement
du printemps 2020

Édition spéciale


pages 2 et 3

«Heureusement, il y a ma petite sœur
qui me fait rire»

J’ai compris que la vie quotidienne et les choses simples ont une grande valeur.
On les apprécie quand on perd la liberté de faire ce qu’on veut.

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pages 4 et 5

«J’ai pensé que le virus était un problème pour
la Chine, alors je suis allée manger
au restaurant japonais»

Pendant cette période de confinement, j’aide beaucoup dans les tâches ménagères:
je cuisine, je range ma chambre et je la nettoie. C’est une façon pour remplir les journées.
Et quand il y a mauvais temps, c’est très paisible.

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pages 6

«Nous sommes devenus
des experts en profiteroles»

En cette période de crise, il y a un côté positif. C’est la nature, le fait que la pollution a diminué, la déforestation aussi et les animaux sont plus heureux sans que l’homme n’envahisse leur habitat!

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page 7

«Quand on m’a dit que nous ne pouvions plus
sortir, j’ai compris que c’était une chose sérieuse»

Le soir, je fais une chose que je ne faisais jamais:
je joue aux cartes avec mon père et ma sœur.

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pages 8 et 9

«Tous les jours, je regardais le nombre de morts et d’infectés dans l’espoir de les voir diminuer»

Sur internet, j’ai trouvé des informations, mais très peu, parce que beaucoup de choses sont des fake news. Par exemple, les mouches qui transmettent le coronavirus, ce n’est pas vrai: cela n’a pas été vérifié par la science.

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pages 10 et 11

«J’ai bien aimé repasser,
même si j’ai brûlé la chemise de mon frère…»

Durant le confinement, j’ai beaucoup lu La Stampa, la Repubblica et le Corriere della Sera,
mais je préfère lire ces journaux en ligne pour améliorer la lecture.

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page 12

«Dès le premier jour, j’ai commencé
à chercher des informations sur le virus»

J’ai appris à connaître le Covid-19 sur internet mais aussi au téléjournal du soir.

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page 13

«Je n’ai malheureusement pas pu participer
aux compétitions d’escrime»

Depuis qu’on est confiné, il y a aussi des aspects positifs parce que nous sommes
tous à la maison et nous pouvons faire beaucoup de choses ensemble.
J’aide mon papa à nettoyer et nourrir les animaux, les poules, les lapins, le chat.
J’aide ma maman à dresser la table et à cuisiner.

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pages 14 et 15

«J’ai compris à quel point la liberté de sortir est importante. Je n’aurais jamais pensé vouloir retourner à l’école aussi vite que possible!»

Je n’oublierai jamais ce jour où tout a commencé: c’était le soir du 11 mars. Ce qui m’a le plus surpris, c’est que mes parents, contrairement aux autres fois, ont préféré me mettre au courant du problème et ça me rendait très anxieuse.

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pages 16 et 17

«Le silence s’empare du monde autour de moi,
on entend les oiseaux qui chantent et on voit les dernières feuilles d’automne s’envoler,
comme si elles étaient des fantômes»

Quand j’ai découvert qu’en Vallée d’Aoste il y avait le coronavirus, j’étais en train de mettre la table pour le dîner. J’ai eu la nouvelle en écoutant le téléjournal régional. Ensuite, j’ai aussi écouté le téléjournal national et il disait explicitement que la Vallée d’Aoste aussi avait été contaminée.

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page 18

«8 mars: les cas de virus augmentent très rapidement, je reste dans mon lit toute la journée»

Sur le coronavirus, j’ai trouvé beaucoup d’informations sur le web avec mon téléphone portable et mon ordinateur.

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«Quand j’ai entendu pour la première fois parler du Covid-19, j’avais la grippe mais heureusement ce n’était pas à cause du virus»

Tous les soirs, je regardais le téléjournal pour savoir si les écoles ouvriraient ou pas.

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page 19

«J’étais assis dans la télécabine pour aller skier quand j’ai vu dans mon téléphone le mot Covid-19. J’ai compris une semaine après ce que cela voulait dire»

Par la suite, mes parents nous ont expliqué plus en détail, à mon frère et à moi, la gravité de cette maladie et comment se protéger.

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«Quand le virus est arrivé en Vallée d’Aoste, j’ai posé beaucoup de questions à ma mère, mais elle était aussi surprise que moi»

L’après-midi, après la didactique à distance, je regarde beaucoup de films et j’écoute de la musique pour me relaxer un peu.

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page 20

«Enfermé à la maison, j’ai réalisé que
je ne pouvais rien faire de drôle»

L’extérieur, je le perçois comme une «guerre»: les médecins sont des soldats, ceux qui nous sauveront de cette pandémie.

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«En regardant le téléjournal, j’ai eu un peu peur, car j’ai pensé que j’aurais pu attraper le virus moi aussi»

Un jour, j’ai reçu une notification d’une amie: je ne lui croyais pas, je pensais que c’était une fake news.

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page 21

«Il me manque quelque chose pour compléter mon bonheur, mes amis, mes parents, mais surtout la liberté de faire ce que je veux»

J’espère de tout mon cœur que cette situation se termine au plus vite et que tout le monde puisse recommencer à «vivre».

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«Un soir, maman est rentrée à la maison
et m’a dit que l’école était fermée»

J’ai appris que le Covid-19 est arrivé en Italie et aussi en Vallée d’Aoste en regardant
les téléjournaux.

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