«La pandémie a eu un impact désastreux sur la danse en Vallée d’Aoste»

Préambule En raison des restrictions sanitaires, les élèves de l’Institution scolaire Valdigne Mont-Blanc de Courmayeur n’ont pas pu se rendre sur le terrain pour interviewer les professionnels dans le cadre de la thématique choisie pour la Résidence journalistique 2020-2021: «Le sport en Vallée d’Aoste (au temps du Covid).» Les élèves ont donc réalisé des «mini-films» individuels, dans lesquels ils et elles ont mis en scène leur recherche et ont filmé leurs entretiens en distanciel.



Je suis Sofia, une élève de la classe 2ème A de l’Institution scolaire Valdigne Mont-Blanc à Courmayeur. Le thème de mon documentaire est la danse en Vallée d’Aoste. J’ai choisi de vous présenter la danse parce que c’est le plus beau sport que j’ai pratiqué dans ma vie. Quand j’avais six ans, ma maman et mon papa m’ont amenée à un spectacle de danse et je l’ai tout de suite aimé. J’ai alors voulu devenir danseuse. Pour vous présenter la danse, j’ai interviewé Nancy Rivaroli, responsable des entraîneurs à l’Académie de danse de Courmayeur. Elle a répondu à mes questions en italien.
— Dans votre école, on enseigne la danse moderne, la danse classique, le tip-tap (les claquettes) et le hip-hop. Quel est le style le plus suivi en Vallée d’Aoste?
— Quels ont été les effets de la pandémie dans le monde de la danse en Vallée d’Aoste?
— Combien de garçons s’inscrivent dans votre école chaque année, et combien de filles?

Regardez la vidéo et découvrez les réponses de Madame Nancy Rivaroli.


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